Allennes-les-Marais

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Allennes-les-Marais
Allennes-les-Marais
L'église Saint-Nicolas.
Blason de Allennes-les-Marais
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Lille
Intercommunalité Métropole européenne de Lille
Maire
Mandat
Gérard Mayor
2020-2026
Code postal 59251
Code commune 59005
Démographie
Gentilé Allennois
Population
municipale
3 567 hab. (2021 en augmentation de 4,51 % par rapport à 2015)
Densité 643 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 32′ 12″ nord, 2° 57′ 06″ est
Altitude Min. 18 m
Max. 29 m
Superficie 5,55 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Annœullin
(banlieue)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Annœullin
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Allennes-les-Marais
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Allennes-les-Marais
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Allennes-les-Marais

Allennes-les-Marais est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Allennes-les-Marais faisait partie de la communauté de communes de la Haute Deûle, en Flandre française, qui a choisi de rejoindre la Métropole européenne de Lille en 2020.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Allennes-les-Marais se situe dans le Carembault en Flandre romane, à 12,7 km au sud-ouest de Lille (19,8 km par la route).

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Position d'Allennes-les-Marais par rapport aux communes limitrophes.
Communes limitrophes d’Allennes-les-Marais
Wavrin Herrin
Don Allennes-les-Marais Gondecourt
Annœullin Carnin

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune, en tant qu'ancienne et riche zone de marais, présente de grandes potentialités écologiques, mais si pour sa partie nord elle est écopaysagèrement plus riche (et proche du Parc de la Deûle, élément important et structurant de la trame verte et bleue régionale, elle est aujourd'hui entourée d'un paysage dominé par l'agriculture intensive, et elle présente également des séquelles de guerre ou industrielle.

En particulier, elle abrite un important dépôts de cendres de charbon issus d'une centrale au charbon ; ces cendres étant susceptible de renfermer des dioxines, métaux lourds voire des éléments radioactifs[1]. Ce rapport (Robin des bois, ASN, ) indique que les mesures conduites sur site indiquent que globalement, le niveau de radioactivité sur les sites est proche du niveau de référence régional. Localement, des anomalies radiamétriques ont été identifiées ; le débit de dose au contact restant cependant comparable au débit de dose ambiant qui peut être mesuré en région granitique du fait de la radioactivité naturelle du socle géologique. L’analyse des cendres prélevées confirme ce faible taux de radioactivité. L’analyse des eaux potentiellement sous

influence, n’a pas conduit à mettre en évidence un impact imputable à la présence de cendre. Et en conclusion : Le niveau de radioactivité sur les sites et dans leur environnement est comparable à celui caractéristique du milieu de référence régional. Par conséquent, il n’apparaît pas pertinent de conduire un calcul d’exposition de la population.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 703 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lesquin à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Allennes-les-Marais est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Annœullin, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[11] et 13 888 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (75,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,9 %), zones urbanisées (21,7 %), prairies (6,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,1 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

Voie ferroviaire[modifier | modifier le code]

L'ancienne gare.

La ligne de Templeuve à Don-Sainghin, désaffectée, traversait Allennes-les-Marais qui disposait d'une gare sur cette ligne.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par la ligne sur réservation 21R du réseau Ilévia et par les lignes 858 et 880 du réseau interurbain Arc-en-Ciel 2[17].

Toponymie[modifier | modifier le code]

D’origine incertaine, l'étymologie du nom Allennes viendrait de al (bord) et len (rivière), ou de a la vetum (aulnaie), lieu planté d’aulnes. Elle s’est successivement appelée Halenes en 1178, Allennes en Carembault en 1787, Allennes sur les Marais à la fin du XVIIIe siècle puis enfin Alleunes ou Allennes-les-Marais en 1801.

Les habitants ont pour surnom ou nom jeté celui de « grosses têtes », donné peut-être comme en Angleterre où ils ont celui de « têtes rondes » donné à une catégorie de soldats portant un casque typiquement de cette forme.

Histoire[modifier | modifier le code]

La terre d'Allennes-les-Marais est mentionnée dès l’an 675 dans un titre de l’abbaye Saint Vaast d’Arras. Vers 964, elle figure dans les possessions de l’abbaye Saint Pierre de Gand puis après avoir été une dépendance d’Annœullin, elle appartient à l’abbaye Saint-Martin de Tournai jusqu’à la Révolution.

Avant la Révolution française, Allennes est le siège d'une seigneurie[18].

Sous l'Ancien Régime, quatre familles y exercent successivement la justice : les d'Allennes, les de Neuville (Hugues de Neuville, seigneur d’Allennes sera tué en 1415 à la bataille d’Azincourt), les d'Oignies et les de Croix d’Heuchin[19].

En 1566, sous l’occupation espagnole, les habitants d’Allennes aident les Seclinois à repousser l’invasion des Gueux puis en 1642, le duc de Milleray qui prend la ville de La Bassée, ravage le village et brûle la grande ferme d’Allennes.

Une ordonnance de 1669 autorise les seigneurs à réclamer le profit d'un tiers de l’exploitation des marais de la Deûle. En 1777, les 2/3 des marais restants sont partagés en portions ménagères entre les villageois.

Sous l'Ancien Régime, Allennes faisait partie du quartier de Carembault, chef-lieu Phalempin.

Vers 1750, Charles-Maximilien-Joseph d'Haffrenghes (lien probable avec la famille d'Affringues), écuyer, est seigneur d'Allennes. Il a épousé Suzanne-Thérèse-Joseph Becuwe[20].

Relief du porche-pigeonnier de la cense dite de Layens aux armoiries de Jean Levasseur

.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Situation administrative[modifier | modifier le code]

Allennes-les-Marais dans son canton et son arrondissement.

Tendance politique[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Maire en 1802-1803 : Wauquier[21]'[22].

Maire en 1881 : Jean Marchand[23].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1947 1971 Marcel Dubar    
1971 1980 Henri Bernard PCF Démissionnaire pour raisons de santé
1980 Francis Debergh PS Décédé en fonction
juin 2004 mars 2014 Alain Dehais PS Retraité EDF
mars 2014 En cours Gérard Mayor PS Retraité de la fonction publique, ancien adjoint au maire
Réélu pour le mandat 2020-2026 [24]
Les données manquantes sont à compléter.


Résultats définitifs de l'élection municipale de 2020
Listes conduites Tours Nombre de sièges obtenus Conseil communautaire Tendance
1er tour
Nombres de voix Pourcentages exprimés Pourcentages des inscrits
Liste conduite par M. Gérard Mayor (DVG) 833 28,62% 57,21% 18 1
Liste conduite par M. Mady Dorchies (DVD) 623 21,40% 42,78% 5 0
Nombre des inscrits Pourcentages des inscrits Pourcentages des votants
Nombre d'inscrits 2 910
Abstentions 1 383 47,53%
Votants 1 527 52,47%
Blancs 32 1,10% 2,10%
Nuls 39 1,34% 2,55%
Exprimés 1 456 50,03% 95,35%

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

La ville de Allennes-les-Marais est jumelée avec Bialobrzegi (Pologne).

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].

En 2021, la commune comptait 3 567 habitants[Note 3], en augmentation de 4,51 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
547601667733796814849870911
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9331 0039841 0211 0171 0171 0331 1321 172
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1751 1961 2041 0371 1451 1511 1881 1421 247
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 6581 8371 8932 4262 7733 2343 4413 4073 366
2014 2019 2021 - - - - - -
3 4173 4563 567------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,6 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 683 hommes pour 1 775 femmes, soit un taux de 51,33 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
0,5 
3,4 
75-89 ans
5,7 
15,9 
60-74 ans
17,5 
24,5 
45-59 ans
24,7 
19,0 
30-44 ans
18,6 
18,2 
15-29 ans
16,4 
18,8 
0-14 ans
16,6 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Santé[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Allennes-les-Marais fait partie de l'académie de Lille.

Sports[modifier | modifier le code]

Média[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Village à vocation agricole, puisque 37 fermes y sont recensées au début des années 1900, Allennes-les-Marais est aussi réputé, dès 1875, pour ses ouvrières qui confectionnent vêtements et linge de maison.

Une distillerie qui emploie environ 80 ouvriers fonctionnera jusqu'en 1914.

La filature, fondée par Mme Descamps-Duflot, qui produit notamment des petits vêtements et de la lingerie féminine, reste en activité jusqu'au début des années 1980.

La ligne de chemin de fer Don-Sainghin-Templeuve traverse le village à partir des années 1890 mais sa suppression, au début des années 1970, entraîne la fermeture de la gare, dont le bâtiment a été cependant sauvegardé et réhabilité.

Centrale thermique des Ansereuilles[modifier | modifier le code]

Implantée sur un terrain de 58 ha, à proximité de la voie ferrée Lille–Béthune et sur la rive gauche de la Deûle, la centrale thermique des Ansereuilles, entre en activité en 1959. Agrandie en 1964-65, elle est alors conçue pour brûler du charbon. En 1972-73, des modifications permettent de l'alimenter en fioul lourd. Quatre réfrigérants atmosphériques refroidissent, en circuit fermé, l’eau des condensateurs. Désaffectée en 1984, la centrale est abattue en 1989.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Cense dite de Layens avec porche-pigeonnier daté de 1779
Porche-pigeonnier de la cense dite de « Layens ».
  • Mur d'enceinte du château de M. Wicart ou château Verspieren
  • Château du bois dont il reste deux petits châlets et son parc rue Franche (propriété privée)
  • Ancienne distillerie Collette dont l’entrée et une partie des murs sont conservés au patrimoine historique. (rue Sonneville à côté de l’église)
  • Calvaire du XVe ou du XVIe siècle abrité par une chapelle en briques.
  • Presbytère de la fin du XVIIIe siècle.
  • Cense dite de Layens avec porche-pigeonnier daté de 1779 sous un relief gravé aux armoiries de Jean Levasseur, mayeur de la ville de Lille au XVIIe siècle [31].
  • Villa des acacias datée de 1890, ancienne demeure de la famille Descamps-Duflot.
  • Église Saint-Nicolas avec des fondations datant du XVe siècle, rénovée à l’état d’origine (modifiée plusieurs fois durant ce siècle). Fresque à l’intérieur découverte en démolissant le torchis couvert sur les murs. Inscription latine relative au saint patron de l'église : saint Nicolas. Elle a été ravagée par le feu le en fin d'après-midi: la flèche et la toiture ont été calcinées et le reste du bâtiment a été fortement endommagé. Le clocher est tombé de l'église, sans faire de blessés, mais évidemment avec l'intervention des pompiers prévenant les habitants.
Allennes-les-Marais, blockhaus 212
  • Construit entre 1917 et 1918, par l’armée allemande le dispositif Wotan Stellung (position Wotan), fut mis en place afin d'assurer le contrôle du canal de la Deûle, entre les villes d’ Haubourdin et de Bauvin. Cet édifice est répertorié dans le patrimoine architectural français (Mérimée)[32].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes d'Allennes-les-Marais se blasonnent ainsi : « D'or à dix losanges accolées et aboutées de gueules, 3, 3, 3 et 1. »

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. [PDF] « Rapport « Les cendres de charbon et les phosphogypses » »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Robin des bois / Autorité de Sûreté Nucléaire, (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Allennes-les-Marais et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Lille-Lesquin » (commune de Lesquin) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Lille-Lesquin » (commune de Lesquin) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 d'Annœullin », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. « Plan du réseau Ilévia 2022-2023 » [PDF], sur ilevia.fr, (consulté le ).
  18. Amédée Le Boucq de (Chevalier) Auteur du texte Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, par M. le chevalier Amédée Le Boucq de Ternas,... œuvre posthume publiée par sa famille. (29 octobre 1878.), (lire en ligne).
  19. Victor Becquart, Les Communes de l'Arrondissement de Lille, Lille, (lire en ligne), p. 5
  20. Paul-Denis du Péage, Recueil de généalogies lilloises, tome II, Lille, 1907, p. 670, lire en ligne.
  21. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 273, lire en ligne.
  22. Wauquier est également le nom du maire de Camphin-en -Carembault à la même date.
  23. « Le Petit Nord : journal politique quotidien ["puis" journal républicain quotidien du matin "puis" journal républicain absolument indépendant] », sur Gallica, (consulté le ), p. 2..
  24. « Welcome to nginx! », sur cafeyn.co (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Allennes-les-Marais (59005) », (consulté le ).
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  31. La saga des Collette au XIXe siècle - 2e partie : Ceux d'Allennes-les-Marais
  32. Allennes-Marais , blockhaus 212